Sur toutes les cimes,
Plus rien ne bouge,
Aux sommets des arbres,
Tu perçois à peine,
Un souffle d’air.
Dans la forêt les oiseaux se sont tus.
Attends, bientôt,
Tu reposeras à ton tour.
(6 septembre 1980)

Traduit de l’allemand par Jean-Pierre Lefebvre
in, « Anthologie bilingue de la poésie allemande »
Editions Gallimard (La Pléiade), 1995

 

Évaluations et critiques :

Un autre, pareil
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Commentez et laissez-nous savoir ce que vous pensez de cette poésie!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x