Conforme à son rôlet de monstre et de bijou,
La Du Barry nous reste en l’espèce d’un Sèvres ;
Il a le rose tendre et la fleur de ses lèvres,
Et c’est un immortel et fragile joujou.

Prudence de fourmi, grâce de sapajou,
Elle exerce bronziers, céramistes, orfèvres ;
Ajoutez la frayeur excessive des lièvres…
Callot la devrait peindre : il la cède à Pajou

Son léopard subsiste au Palais des Voitures…
Luciennes la retient toute à ses confitures,
Quand l’autre léopard de la Terreur descend.

Quand ta chaise à porteurs se transforme en charrette ;
Qu’il te faut y monter, monstrueuse Perrette,
Et que ton Pot-au-Lait se change en Pot-au-Sang !

Évaluations et critiques :

La Comtesse
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre opinion sur ce poème et montrez-nous ce que vous pensez de la créativité de ce poète!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x