L’Art Moderne

Un matin, alors que dans l'aube sereine,

tintinnabulaient les clarines des troupeaux

et que, dans les brouillards naissants,

les feux des lucioles s'éteignaient

dans le parfum des asphodèles,

ma femme, en mettant le lit dehors,

me dit :

c'est fou comme tu transpires quand tu dors !

Évaluations et critiques :

L’Art Moderne
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Votre voix compte! Partagez votre opinion sur ce poème et faites-nous part de vos impressions.

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x