Étendards – Fumées

Et tandis que la guerre

Ensanglante la terre

Je hausse les odeurs

Près des couleurs-saveurs
Et je fume du tabac de ZoNE
Des fleurs à ras du sol regardent par bouffées

Les boucles des odeurs par tes mains décoiffées

Mais je connais aussi les grottes parfumées

Où gravite l’azur unique des fumées

Où plus doux que la nuit et plus pur que le jour

Tu t’étends comme un dieu fatigué par l’amour

Tu fascines les flammes

Elles rampent à tes pieds

Ces nonchalantes femmes

Tes feuilles de papier

Évaluations et critiques :

Étendards – Fumées
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Votre avis compte! Laissez-nous savoir ce que vous pensez de ce poème et montrez-nous que vous êtes un grand poète!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x