Tous de l'amitié.
Sans ça l'on
Ne saurait orner mon salon
J'ai, sur ce mirliton rêveur
Ma devise «
Evans for ever »
Augusta
Holmes m'accommode
Comme femme et même comme ode
Coppée, aussi je le reçois,
Reste l'honneur du vers
François
Sur
Pégase palefroi
Jean est muse et
Berthe,
Roy
Je ne connais rien de funeste
A nos vertus comme
Geneste
Madame
François, de son nom
Mina
A m'aimer un peu se détermina
Sans être femmiste ou damard
On en tiendrait pour
Hadamard
Dupray, jouvenceau ; qu'on nomme
Mal ici le vieux
Bonhomme
À nos « five »,
Hortense
Schneider Ôte sa pelisse d'eider
Quel chignon topaze ou saur
Subjugue à présent
Champsaur ?
Ta fontaine, Évian, pleure sur le gravier
Le pied évanoui de
Madame
Gravier
Comme un yacht princier
Marie
Magnier va sans avarie
Notre rire aux notes soumis
Fera de nous mille
Roumis
Je crois, sans qu'on m'en ait conté,
Plaire à
Rosine
Labonté
Le cœur me bat trop s'il est ausculté
Par
Fournier, flambeau de la
Faculté
À fleurir s'est, chez
Edmond, décidée
Une multiple et bizarre orchidée
Portalier un cœur ; mais de seins
Pas plus que tous les médecins
Je m'accoude dans le bain
Aimant entendre
Robin
Quelquefois je nomme
Adrien
Marx mon docteur, quand je n'ai rien
Reine pour la simple Élisa
Sa ferveur me fleurdelisa
Mon goût correct s'est gendarmé
Contre ces vers de
Mallarmé.
Stéphane Mallarmé
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