O Sommeil, ô Mort tiède, ô musique muette !

Ton visage s’incline éternellement las,

Et le songe fleurit à l’ombre de tes pas,

Ainsi qu’une nocturne et sombre violette.
Les parfums affaiblis et les astres décrus

Revivent dans tes mains aux pâles transparences,

Evocateur d’espoirs et vainqueur de souffrances

Qui nous rends la beauté des êtres disparus.

Évaluations et critiques :

Sommeil
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