C’était longtemps avant la guerre

Sur la banquette en moleskine

Du sombre corridor,

Aux flonflons d’Offenbach s’endort

Une blanche Arlequine.
… Zo’ qui saute entre deux MMrs,

Nul falzar ne dérobe

Le double trésor sous sa robe

Qu’ont mûri d’autres cieux.
On soupe… on sort… Bauby pérore…

Dans ton regard couvert,

Faustine, rit un matin vert…

… Amour, divine aurore.

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C’était longtemps avant la guerre
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