Mélancolique mer que je ne connais pas,
Tu vas m’envelopper dans ta brume légère
Sur ton sable mouillé je marquerai mes pas,
Et j’oublierai soudain et la ville et la terre.
Ô mer, ô tristes flots, saurez-vous, dans vos bruits
Qui viendront expirer sur les sables sauvages,
Bercer jusqu’à la mort mon coeur, et ses ennuis
Qui ne se plaisent plus qu’aux beautés des naufrages ?
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