Impérieux mais indolent,
Tu parcours durement la vie,
Ayant jadis connu l’envie
De rêver, d’un cœur triste et lent.
Mais, comme un lutteur qu’on offense,
Tu repousses d’un brusque élan
Ces noblesses de ton enfance;
Ton œil est froid et vigilant.
— Puissé-je, mourir en brûlant!
Partagez votre opinion et dites-nous ce que vous pensez de ce poème. Montrez-nous que vous êtes un grand poète!