Attente de la mort

Une paillote au
Paraguay
Où j'attendrais dans un hamac
Celle qui vient bien toute seule.

Un bœuf gris passerait la tête
Et ruminerait devant moi,
J'aurais tout le temps de le voir.

Un chien entrerait assoiffé,
Et courant à mon pot à eau
U y boirait, boirait, boirait.

Enfin il me regarderait

Et de sa langue rouge et claire

Des gouttes tomberaient à terre.

Des oiseaux couperaient le jour
De la porte dans leurs vols vifs.
Et pas un homme pas un homme!

Je serai moi-même évasif.

Évaluations et critiques :

Attente de la mort
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Votre voix compte! Partagez votre opinion sur ce poème et faites-nous part de vos impressions.

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x