Langage cuit – II

d’une voix noire

d’une voix maigre

m’a séduite

dans la nuit mince

dans le jour des temps.

Se vêtir d’un crêpe de chevelure

la muse aux seins mourants.
Et la voix ronde

dit que la voie est esclave.
Quelle lumière cuite ce jour-là !

Évaluations et critiques :

Langage cuit – II
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre opinion sur ce poème et montrez-nous ce que vous pensez de la créativité de ce poète!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x