Les flamboyantes Pierreries
Qui parent les glaives des rois
Et les mors de leurs palefrois,
Brillent dans les rouges tueries.
La foule, amante des féeries,
Admire, en ses humbles effrois,
Les flamboyantes Pierreries
Qui parent les glaives des rois.
Et, dans les louanges nourries,
Les Princesses aux regards froids
Sèment sur leurs corsages droits
Et sur leurs jupes d’or fleuries
Les flamboyantes Pierreries.
Juillet 1875.
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