Nuitamment

Ô Lune, coule dans mes veines

Et que je me soutienne à peine,
Et croie t’aplatir sur mon cœur !

Mais, elle est pâle à faire peur !
Et montre par son teint, sa mise,

Combien elle en a vu de grises !
Et ramène, se sentant mal,

Son cachemire sidéral,
Errante Delos, nécropole,

Je veux que tu fasses école ;
Je te promets en ex-voto

Les Putiphars de mes manteaux !
Et tiens, adieu ; je rentre en ville

Mettre en train deux ou trois idylles,
En m’annonçant par un Péan

D’épithalame à ton Néant.

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Nuitamment
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