Octobre, vers le vieux château

Octobre, vers le vieux château, dont le portail

Pleure et rit quelque part dans Ponson du Terrail,

Guide cet excellent notaire de campagne

Que vous avez connu, décent et noir, la cagne

Aux genoux, mais qui, doux disciple de Rousseau,

Fait ce voyage à pied, malgré la pluie à seau

Lui détraquant un beau pépin rose qu’il gère

D’une main molle ; il chante : « Il pleut, il pleut, Bergère, »

Allègre, et certain d’être, ô le gros polisson !

Le bienvenu du vieux château, cher à Ponson !

Évaluations et critiques :

Octobre, vers le vieux château
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