J’entrais chez le marchand

J’entrais chez le marchand de meubles, et là, triste,

(Savez-vous la chanson du petit Ébéniste ?)

j’allais, lui choisissant une chose à ses goûts,

C’est vers toi que je vins, Canapé-Lit-Leroux.

J’observai le ressort, me disant que cet homme

Fit une chose utile, étant donné le somme.

J’appréciai le tout d’un mot technique et fin ;

Si bien que le marchand, ému, me tend sa main

Honnête, et dit : « Monsieur fabrique aussi sans doute ? »

Douce parole et qu’en mon coeur je grave toute.

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J’entrais chez le marchand
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