Où l’auteur était allé prendre les eaux, et où il trouva un poète médiocre, qui lui montra des vers de sa façon. Il s’adresse à la fontaine.
Oui, vous pouvez chasser l’humeur apoplectique,
Rendre le mouvement au corps paralytique,
Et guérir tous les maux les plus invétérés :
Mais quand je lis ces vers par votre onde inspirés,
Il me parait, admirable fontaine,
Que vous n’eûtes jamais la vertu d’Hippocrène.
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