Versailles où l’éclat des roses s’échelonne,

Les jardins suspendus jadis à Babylone,

Et les fruits de rubis des Mille et une Nuits,

Ont charmé longuement mes innocents ennuis,

Mais, à présent, mûri par notre époque triste,

Je fuis ces visions qui poursuivent l’artiste,

Et mon regard rêveur s’abaisse volontiers

Vers la loge, où, contents végètent mes portiers :

Près du carreau poudreux où l’homme fait sa barbe

J’aime le petit pot où croupit la joubarbe.

Évaluations et critiques :

Paysage
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Vous voulez rejoindre la communauté des poètes? Laissez-nous savoir ce que vous pensez de ce poème!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x