Chaque heure, où je songe à ta bonté

Chaque heure, où je songe à ta bonté

Si simplement profonde,

Je me confonds en prières vers toi.
Je suis venu si tard

Vers la douceur de ton regard,

Et de si loin vers tes deux mains tendues,

Tranquillement, par à travers les étendues!
J’avais en moi tant de rouille tenace

Qui me rongeait à dents rapaces,

La confiance

J’étais si lourd, j’étais si las

J’étais si vieux de méfiance,

J’étais si lourd, j’étais si las

Du vain chemin de tous mes pas.
Je méritais si peu la merveilleuse joie

De voir tes pieds illuminer ma voie,

Que j’en reste tremblant encore et presque en pleurs

Et humble à tout jamais, en face du bonheur.

Évaluations et critiques :

Chaque heure, où je songe à ta bonté
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre opinion sur ce poème et montrez-nous ce que vous pensez de la créativité de ce poète!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x