Dans l’air plein de clameurs méchantes,
De sanglots et de bruits moqueurs,
Pour chasser l’angoisse des coeurs,
Passe le refrain que tu chantes.
Le refrain plaintif où tu dis
La fuite des heures aimées
Et combien sont vite fermées
Les portes portes d’or du paradis !
Le chant dont la douceur étonne
L’oiseau muet sous le buisson,
La mélancolique chanson
Que je t’appris un soir d’automne !
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