Le vent d’été

À Léon Tillot.
Le vent d’été baise et caresse

La nature tout doucement :

On dirait un souffle d’amant

Qui craint d’éveiller sa maîtresse.
Bohémien de la paresse,

Lazzarone du frôlement,

Le vent d’été baise et caresse

La nature tout doucement.
Oh ! quelle extase enchanteresse

De savourer l’isolement,

Au fond d’un pré vert et dormant

Qu’avec une si molle ivresse

Le vent d’été baise et caresse !

Évaluations et critiques :

Le vent d’été
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