L’hiver a ses plaisirs ; et souvent, le dimanche,

Quand un peu de soleil jaunit la terre blanche,

Avec une cousine on sort se promener…

- Et ne vous faites pas attendre pour dîner,
Dit la mère. Et quand on a bien, aux Tuileries,

Vu sous les arbres noirs les toilettes fleuries,

La jeune fille a froid… et vous fait observer

Que le brouillard du soir commence à se lever.
Et l’on revient, parlant du beau jour qu’on regrette,

Qui s’est passé si vite… et de flamme discrète :

Et l’on sent en rentrant, avec grand appétit,

Du bas de l’escalier, – le dindon qui rôtit.

Évaluations et critiques :

La cousine
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Vous voulez être un poète ? Alors, commentez ce poème et dites-nous ce que vous en pensez!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x