Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide

Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide.

Lorsque d’un pas tremblant l’indigence timide

De tes larges moissons vient, le regard confus,

Recueillir après toi les restes superflus,

Souviens-toi que Cybèle est la mère commune.

Laisse la probité que trahit la fortune,

Comme l’oiseau du ciel, se nourrir à tes pieds

De quelques grains épars sur la terre oubliés.

Évaluations et critiques :

Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Votre avis compte! Laissez-nous savoir ce que vous pensez de ce poème et montrez-nous que vous êtes un grand poète!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x