Le soleil sur les pierres

Sur les rocs, comme au ciel, le monarque du feu

Se donne, ici, libre carrière.

L’oeil cuit, caché sous la paupière,

Aux fulgurants reflets du grisâtre et du bleu.
Fourmillements d’éclairs de miroirs, de rapières

Et de diamants… il en pleut !

L’astre brûle : sa roue épand sa chaleur fière,

Autant du tour que du moyeu.
Ni nuage, ni vent, ni brume, ni poussière !

Il s’étale, entre comme il veut,

Doublé, répercuté partout, et rien ne peut

Faire un écran à sa lumière.

Évaluations et critiques :

Le soleil sur les pierres
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Vous avez des pensées sur ce poème? Partagez-les et faites-nous part de vos idées créatives!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x