Ondes – À travers l’Europe

A M. Ch.
Rotsoge

Ton visage écarlate ton biplan transformable en

hydroplan

Ta maison ronde où il nage un hareng saur

Il me faut la clef des paupières

Heureusement que nous avons vu M Panado

Et nous somme tranquille de ce côté-là

Qu’est-ce que tu vois mon vieux M.D…

90 ou 324 un homme en l’air un veau qui regarde à

travers le ventre de sa mère
J’ai cherché longtemps sur les routes

Tant d’yeux sont clos au bord des routes

Le vent fait pleurer les saussaies

Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre

Regarde mais regarde donc

Le vieux se lave les pieds dans la cuvette

Una volta ho inteso dire chè vuoi

je me mis à pleurer en me souvenant de vos enfances
Et toi tu me montres un violet

épouvantable

Ce petit tableau où il y a une voiture

m’a rappelé le jour

Un jour fait de morceaux mauves

jaunes bleus verts et rouges

Où je m’en allais à la campagne

avec une charmante cheminée

tenant sa chienne en laisse

Il n’y en a plus tu n’as plus ton petit

mirliton

La cheminée fume loin de moi des

cigarettes russes

La chienne aboie contre les lilas

La veilleuse est consumée

Sur la robe on chu des pétales

Deux anneaux près des sandales

Au soleil se sont allumés

Mais tes cheveux sont le trolley

À travers l’Europe vêtue de petits

feux multicolores

Évaluations et critiques :

Ondes – À travers l’Europe
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Vous voulez être un poète ? Alors, commentez ce poème et dites-nous ce que vous en pensez!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x