Mon enfance, dans mon cœur,
Subsistait avec aisance.
J’ai souffert de ta rigueur
Tu as tué mon enfance!
En son midi l’ample été
Voit ses roses qui renaissent,
Ainsi brillait ma beauté:
Tu as tué ma jeunesse !
Et pendant que tu détruis
Ma vie aux luisantes ailes,
Moi je t’offre un divin fruit:
La renommée éternelle…
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