Je ne fus heureux ― pas souvent ―

Que par le baiser, je l’avoue.

J’aimais les lèvres sur ma joue,

Quand j’étais un petit enfant.
Le baiser seulement me touche.

Ma jeunesse et mon âge mûr

L’ont cherché, sensuel ou pur ;

Et l’on me baisa sur la bouche.
Aucuns fils ne me survivront ;

La saison d’amour est finie.

A l’heure de mon agonie,

Qui me baisera sur le front ?

Évaluations et critiques :

Le Baiser
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre poésie avec le monde! Quelle est votre opinion sur ce poème?

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x