Ce n’est pas la justice qui tient la balance précise,

c’est toi, ô Dieu à l’envie indivise,

qui pèses nos torts,

et qui de deux coeurs qu’il meurtrit et triture

fais un immense coeur plus grand que nature,

qui voudrait encor
grandir… Toi, qui indifférent et superbe,

humilies la bouche et exaltes le verbe

vers un ciel ignorant…

Toi qui mutiles les êtres en les ajoutant

à l’ultime absence dont ils sont des fragments.

Évaluations et critiques :

Eros (IV)
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