Jusques aux pervers nonchaloirs

Jusques aux pervers nonchaloirs

De ces yeux noirs,

Jusque, depuis ces flemmes blanches

De larges hanches

Et d’un ventre et de deux beaux seins

Aux fiers dessins,
Tout pervertit, tout convertit tous mes desseins,
Jusques à votre menterie,

Bouche fleurie,

Jusques aux pièges mal tendus

Tant attendus,

De tant d’appas, de tant de charmes,

De tant d’alarmes,
Tout pervertit, tout avertit mes tristes larmes,
Et, Chère, ah ! dis : Flûtes et zons

À mes chansons

Qui vont bramant, tels des cerfs prestes

Aux gestes lestes,

Ah ! dis donc, Chère : Flûte et zon !

À ma chanson,
Et si je fais l’âne, eh bien, donne-moi du son !

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Jusques aux pervers nonchaloirs
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