Quelquefois…

Quelquefois, après des ébats polis,

J’agitai si bien, sur la couche en déroute,

Le crincrin de la blague et le sistre du doute

Que les bras t’en tombaient du lit.
Après ça, tu marchais, tu marchais quand même ;

Et ces airs, hélas, de doux chien battu,

C’est à vous dégoûter d’être tendre, vois-tu,

De taper sur les gens qu’on aime.

Évaluations et critiques :

Quelquefois…
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Vous êtes un poète inspiré? Laissez-nous vous entendre et donnez votre avis sur ce poème!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x