À FEYEN PERRIN
Celle qui tord au vent sa lourde chevelure

Où le rouge soleil a laissé sa brûlure,

Avant que de descendre aux gouffres de la mer,

C’est Astarté, la fille implacable de l’onde,

L’immortelle Beauté qui torture le monde,

Dont la lèvre, en douleurs comme en plaisirs féconde

A gardé pour nos pleurs le sel du flot amer.
Mai 1881.

Évaluations et critiques :

Astarté
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