Seul et désespéré
J’habite la conscience de l’invisible débat
Et la pluie qui tombe après le froid glacial
N’a pas changé l’apparence de l’asphalte mon seul
refuge
J’ai descellé la pierre à battement
Pour le triple battement de l’enfer
Et mon voyage à travers la déraison
S’incline à durer comme celui de l’esprit des morts
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