Ci gist un petit garçonnet

Qui mourut par les mains cruelles

De deux mechantes demoiselles

Sur le chemin de Bagnolet.
Mais son trepas fut glorieux

Autant que sa mort fut cruelle,

Puisqu’il mourut devant les yeux

De la princesse la plus belle

Qui fust jamais dessous les cieux.

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Epitaphe
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