Partout autour de moi des oiseaux de théâtre
Sifflent des valses lentes qui me font pleurer
Et lorsque leurs ombres contre le mur de plâtre
Traversent mon ombre, je leur crie : « Arrêtez
Assassins, c’est par l’ombre que je suis sensible,
Le reflet de ma vie met mes jours en danger,
Un cœur de rêve y bat mes rêves impossibles,
D’un coup d’aile en ce cœur on peut m’assassiner »
1939
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