Le Sang qui me Dénomme

C'étaient des corbeaux

La vie une flaque d'eau

Hippocrate l'éternité

Un papier tordu par quoi
Je vais aux yeux des chats

Je vois les cieux l'hirondelle

Aveugle de l'aube

L'absence rutilante le silence

L'aurore l'amertume

Le bois l'enclume

Et je vis et je chante

Et tout est ivre et la

Vie retrouve son sens

Et je suis libre
20 août 1953

César Moro

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Le Sang qui me Dénomme
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