Il n'y a pas un y
En
Miracle mais un u en
Muraille
La mer monte et déferle sur les fers
Aille qui veuille vole qui peuve
Nous rirons à la fois mais
Pas plus d'une fois
Avec la foi de joie le feu du jeu
Jamais se pare d'oriflammes
Pour faire pardon de j'aimais
Sous les ombrages du
Parc aux
Cerfs
Tant de pierres vénérables
Plus hautes les unes que les autres
Septembre 1952
César Moro
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