Sonnet Vi – Sonnet

Un jour mon beau soleil mirait sa tresse blonde

Aux rais du grand

Soleil qui n'a point de pareil :

Le grand

Soleil aussi mirait son teint vermeil

Au

Ray de mon

Soleil que nul ray ne seconde :
Mon

Soleil au

Soleil estoit

Soleil et onde :

Le grand

Soleil estoit son onde et son

Soleil :

Le

Soleil se disoit le

Soleil nompareil :

Mon

Soleil se disoit le seul

Soleil du monde :
Soleils ardants laissez ces bruicts contentieux,
L'un est

Soleil en terre et l'autre luit aux

Cieux :

L'un est

Soleil des corps, l'autre

Soleil de l'ame :
Mais si vous desbattez,

Soleils, qui de vous deux

Est

Soleil plus luisant et plus puissant de feux,

Soleil tes jours sont nuicts comparés à

Madame.

Abraham de Vermeil
Sonnets

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Sonnet Vi – Sonnet
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