(Études latines, XVII)
Lydia, sur tes roses joues,

Et sur ton col frais et plus blanc

Que le lait, coule étincelant

L’or fluide que tu dénoues.
Le jour qui luit est le meilleur

Oublions l’éternelle tombe.

Laisse tes baisers de colombe

Chanter sur tes lèvres en fleur.
Un lys caché répand sans cesse

Une odeur divine en ton sein :

Les délices, comme un essaim,

Sortent de toi, jeune Déesse !
Je t’aime et meurs, ô mes amours !

Mon âme en baisers m’est ravie.

Ô Lydia, rends-moi la vie,

Que je puisse mourir toujours !

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Lydia
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