Boulogne, où nous nous querellâmes

Aux pleurs d’un soir trop chaud

Dans la boue ; et toi, le pied haut,

Foulant aussi nos âmes.
La nuit fut ; ni, rentrés chez moi,

Tes fureurs plus de mise.

Ah ! de te voir nue en chemise,

Quel devint mon émoi !
On était seuls (du moins j’espère) ;

Mais tu parlais tout bas.

Ainsi l’amour naît des combats :

Le dieu Mars est son père.

Évaluations et critiques :

Boulogne
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