Colonne de Saphir, d’arabesques brodée

- Reparais ! – Les Ramiers pleurent cherchant leur nid :

Et, de ton pied d’azur à ton front de granit

Se déroule à longs plis la pourpre de Judée !
Si tu vois Bénarès sur son fleuve accoudée

Prends ton arc et revifts ton corset d’or bruni :

Car voici le Vautour, volant sur Patani,

Et de papillons blancs la Mer est inondée.
Mahdéwa ! Fais flotter tes voiles sur les eaux

Livre tes fleurs de pourpre au courant des ruisseaux :

La neige du Cathay tombe sur l’Atlantique :
Cependant la prêtresse au visage vermeil

Est endormie encor sous l’Arche du Soleil :

- Et rien n’a dérangé le sévère portique.

Évaluations et critiques :

Érythréa
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre poésie avec le monde! Quelle est votre opinion sur ce poème?

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x