Ce n’est pas la justice qui tient la balance précise,

c’est toi, ô Dieu à l’envie indivise,

qui pèses nos torts,

et qui de deux coeurs qu’il meurtrit et triture

fais un immense coeur plus grand que nature,

qui voudrait encor
grandir… Toi, qui indifférent et superbe,

humilies la bouche et exaltes le verbe

vers un ciel ignorant…

Toi qui mutiles les êtres en les ajoutant

à l’ultime absence dont ils sont des fragments.

Évaluations et critiques :

Eros (IV)
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre interprétation de ce poème et faites-nous part de vos idées créatives!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x