Certes j’aime ce que je pense
La force éparse des idées
Me semble par mon cœur aidée!
J’espère, je crois, je dépense
Mes ailes aux amples coudées.
Le front brûlant, l’âme obsédée,
Je puis mourir de turbulence.
— Mais toi seul est ma récompense…
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