Il y a de grands soirs où les villages meurent

Après que les pigeons sont rentrés se coucher.

Ils meurent, doucement, avec le bruit de l’heure

Et le cri bleu des hirondelles au clocher…

Alors, pour les veiller, des lumières s’allument,

Vieilles petites lumières de bonnes soeurs,

Et des lanternes passent, là-bas dans la brume…

Au loin le chemin gris chemine avec douceur…

Les fleurs dans les jardins se sont pelotonnées,

Pour écouter mourir leur village d’antan,

Car elles savent que c’est là qu’elles sont nées…

Puis les lumières s’éteignent, cependant

Que les vieux murs habituels ont rendu l’âme,

Tout doux, tout bonnement, comme de vieilles femmes.

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Soirs
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