Ô lances de nos corps de vin pur
vers la femme d’eau passée de l’autre côté d’elle-même
aux sylves des nèfles amollies
davier des lymphes mères
nourrissant d’amandes douces d’heures mortes de stipes d’orage
de grands éboulis de flamme ouverte
la lovée massive des races nostalgiques
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