Jeune Roy, que la France admire,

Tu nous fais bien voir que les Cieux

Font naistre encor des demi-Dieux

Et prennent soin de ton Empire.
Ta grace à soy les coeurs attire,

Ton visage eblouit les yeux

Et, de son air imperieux,

Le respect et la crainte inspire.
Ton Pere et tes Nobles Ayeux

N’ont point eu de vertus en eux

Qu’en toy le Ciel ne les rassemble.
Enfin il ne te manque rien,

Qu’une Espouse qui te ressemble,

Dont le Sang soit digne du tien.

Évaluations et critiques :

Au Roy
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