Dès que ce Dieu soubs qui la lourde masse

Dès que ce Dieu soubs qui la lourde masse,

De ce grand Tout brouillé s’écartela,

Les cieux plus hauts clairement étoila,

Et d’animaulx remplit la terre basse :
Et dès que l’homme au portrait de sa face

Heureusement sur la terre il moula,

Duquel l’esprit presqu’au sien égala,

Heurant ainsi sa prochaine race :
Helas ! ce Dieu, helas ! ce Dieu vit bien

Qu’il deviendrait cet homme terrien,

Qui plus en plus son intellect surhausse.
Donc tout soudain la Femme va bastir,

Pour asservir l’homme et aneantir

Au faux cuider d’une volupté faulse.

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Dès que ce Dieu soubs qui la lourde masse
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