L’Ombre aux soupirs

Sommeil léger, petite hélice,

Petite, tiède, cœur à l’air.

L’amour de prestidigitateur,

Ciel lourd des mains, éclairs des veines,
Courant dans la rue sans couleurs,

Pris dans sa traîne de pavés,

Il lâche le dernier oiseau

De son auréole d’hier —

Dans chaque puits, un seul serpent.
Autant rêver d’ouvrir les portes de la mer.

Évaluations et critiques :

L’Ombre aux soupirs
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Vous avez des choses à dire sur ce poème? Partagez-les! Nous voulons savoir ce que vous en pensez!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x