Tu étais folle.
Comme c’est loin !
Tu mourus, un doigt devant ta bouche,
Dans un noble mouvement,
Pour couper court à l’effusion ;
Au froid soleil d’un vert partage.
Tu étais si belle que nul ne s’aperçut de ta mort.
Plus tard, c’était la nuit, tu te mis en chemin avec moi.
Nudité sans méfiance,
Seins pourris par ton cœur.
A l’aise en ce monde occurrent,
Un homme, qui t’avait serré dans ses bras,
Passe à table.
Sois bien, tu n’es pas.
Aidez les autres à explorer le monde de la poésie et partagez votre opinion sur ce poème.