Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide

Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide.

Lorsque d’un pas tremblant l’indigence timide

De tes larges moissons vient, le regard confus,

Recueillir après toi les restes superflus,

Souviens-toi que Cybèle est la mère commune.

Laisse la probité que trahit la fortune,

Comme l’oiseau du ciel, se nourrir à tes pieds

De quelques grains épars sur la terre oubliés.

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Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide
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