Aurore sur la mer

… quand à mon sanglot : et que

les vents orageux l’emporte

pour les souffrances !

Psappha
Je te méprise enfin, souffrance passagère !

J’ai relevé mon front. J’ai fini de pleurer.

Mon âme est affranchie, et ton ombre légère

Dans les nuits sans repos ne vient plus l’effleurer.
Aujourd’hui je souris à l’aube qui nous blesse.

O vent des vastes mers, qui, sans parfum de fleurs,

D’une âcre odeur de sel ranimes ma faiblesse,

O vent du large ! emporte à jamais les douleurs !
Emporte les douleurs au loin, d’un grand coup d’aile,

Afin que le bonheur éclate, triomphal,

Dans nos cœurs où l’orgueil divin se renouvelle,

Tournés vers le soleil, les chants et l’idéal !

Évaluations et critiques :

Aurore sur la mer
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