Dimanches (Les nasillardes cloches)

Les nasillardes cloches des dimanches

À l’étranger,

Me font que j’ai de la vache enragée

Pour jusqu’à la nuit, sur la planche;

Je regarde passer des tas de robes blanches.
La jeune fille au joli paroissien

Rentre au logis ;

Son corps se sent l’âme fort reblanchie,

Et, raide, dit qu’il appartient

À une tout autre race que le mien!
Ma chair, ô Sœur, a bien mal à son âme.

Oh ! ton piano

Me recommence ! et ton cœur s’y ânonne

En ritournelles si infâmes,

Et ta chair, sur quoi j’ai des droits! s’y pâme….
Que je te les tordrais avec plaisir,

Ce cœur, ce corps !

Et te dirais leur fait! et puis encore

La manière de s’en servir !

Si tu voulais ensuite m’approfondir….

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Dimanches (Les nasillardes cloches)
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